Accrochez des wagons, ce n’est pas si facile! Un cheminot vous le dira. En ferrovipathe, le chanoine Joseph Voutaz sait le faire sur sa maquette géante dans le galetas de la cure d’Orsières. Mais, depuis la dernière rentrée pascale, il a dû apprendre à «accrocher» des wagons d’un autre ordre: deux secteurs paroissiaux. Celui d’Entremont et celui de Bagnes, ce dernier ayant vécu une période à fortes turbulences. Et le « cheminot modérateur » dit apprécier ce rôle, avec pour objectif premier de semer la bonne entente. Les déraillements, il n’aime pas ! Par contre, il apprécie ses paroissiens et l’équipe avec laquelle il travaille.
Les 18 et 19 novembre, près de 250 personnes se sont réunies à Lausanne pour participer à la deuxième «Université de la diaconie» organisée en Suisse romande. Des personnes d’horizons divers pour sortir d’un schéma séparant ceux qui «donnent» et ceux qui «reçoivent», ceux qui font «pour» les «autres», mais se considérer tous ensemble comme acteurs et destinataires de la Bonne Nouvelle annoncée et promise aux pauvres par le Christ.
A partir de janvier 2024, votre diocèse met en place une nouvelle identité visuelle: un nouveau logo et une nouvelle charte graphique. Le logo reprend par ses symboliques notre vision pastorale diocésaine: «Ensemble en chemin pour annoncer l’amour de Dieu… C’est cela la joie de l’Évangile!»
Les images ont marqué les esprits. Autour des tables rondes, les membres de l’assemblée générale du Synode des Evêques s’écoutent, échangent, partagent ce qui en eux fait écho à la Parole et à la parole partagée. Dans la diversité d’une Eglise universelle, pluriculturelle, au sein de laquelle «des cultures, des langues, des rites, des modes de pensée et des réalités différents peuvent s’engager ensemble et de manière fructueuse dans une recherche sincère sous la conduite de l’Esprit».
Claire Jonard, facilitatrice à l’Assemblée générale du synode des évêques, témoigne ce jeudi soir 30 novembre dans le cadre d’Altius de cette expérience d’Eglise unique.
Elu récemment président du puissant Syndicat chrétien du Valais (SCIV), le Grognard Marcel Bayard a du pain sur la planche! Le climat conjoncturel n’est guère favorable et le No 1 du plus puissant syndicat valaisan est inquiet: «ça tient à un fil et nombre de nos membres pouvaient se retrouver dans une situation économique difficile ces prochains mois». Rencontre.
Le Diocèse de Sion mandate un audit indépendant et externe sur la gestion des abus au sein du Diocèse afin de rechercher les dysfonctionnements relevés par les victimes et l’étude-pilote réalisée par l’Université de Zürich…
Les messes différentes, qui sortent des sentiers battus, nous aimons bien ! Une fois par mois, dans la petite église de Bex, s’y déroule une messe dite intergénérationnelle. C’est donc en curieux que nous nous y sommes rendus pour vivre une messe que l’on peut aussi qualifier de différente, colorée, animée, etc… Mais encore?
Carlo Acutis est né à Londres en 1991 de parents italiens qui se trouvaient en Angleterre pour des raisons professionnelles.
C’est un ado de notre temps comme tant d’autres, un élève impliqué dans sa scolarité, comptant parmi ses amis, et, pour son âge, un grand expert en informatique. À tout ceci est venue s’immiscer sa rencontre indéfectible avec le Christ.
Amitié? Celle qui lie toujours, 13 ans après la mort du Padre Gabriel Carron, Valais et Argentine, Fully et Santa Fe. Nombreux sont les Suisses, jeunes de cœur ou d’esprit, qui ont osé le déplacement. Un déplacement, au sens littéral comme au figuré. Oser devenir les amis des détenus, «frères privés de liberté»; oser se risquer dans les «barrios», quartiers pauvres où des enfants maltraités grandissent et viennent nourrir les prisons de la région; oser le vécu quotidien, multiculturel, d’une communauté de jeunes rassemblant étudiants argentins désargentés accueillis chez Padre Gabriel et volontaires suisses venus se découvrir eux-mêmes à l’école des plus pauvres.
Elles sont deux aumônières à l’EMS St François de Sion, Pascale Sidler Rey et Patricia Rey. Entre la célébration des 100 ans de la maison et une nouvelle plateforme valaisanne des EMS, joies et défis les habitent et les attendent. Rencontre avec l’une des deux, Patricia Rey.